Les prochaines vacances de la Toussaint et de Noël approchent à grands pas. Il va être temps de s’organiser et préparer vos vacances. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter Aurélien fondateur de Memotrips une startup qui s’est spécialisée dans les carnets de voyage.
Dans cette nouvelle interview, nous allons voyager et découvrir la naissance de Memotrips. Je suis certain que vous allez adopter son concept et l’emporter avec vous lors de vos prochaines vacances.
Pouvez-vous vous présenter auprès des auditeurs ?
Aurélien, 30 ans, passionné de Web et de voyage, enchanté!
Issue d’une formation informatique, j’ai passé cinq ans dans différentes sociétés à faire des choses plus ou moins intéressantes. Accros au milieu des startups et des nouvelles technologies, j’ai toujours voulu entreprendre, mais sauter le pas n’est pas évident. Une occasion s’est présentée ce début d’année, j’ai sauté dessus !
Comment est né Memotrips ?
Memotrips est né dans ma tête il y a quasiment 3 ans. J’étais dans la Death Valley aux Etats Unis, dans un village très reculé de tout où il régnait une ambiance d’isolement incroyable. Paradoxalement, j’ai eu envie de partager ce sentiment avec mes proches via quelques photos, une ligne de texte et une localisation. Aucun outil spécialement conçu pour historier ses souvenirs de voyage n’existait. L’idée de proposer un service de carnet de voyage en ligne via un smartphone ou un PC était né.
Pourquoi avez-vous lancé ce projet ?
Comme pas mal de gens, des idées de projets me passent (trop souvent?) par la tête. Je dois faire sans cesse le tri, pour écarter les projets où la barrière à l’entrée est trop importante, où le business modèle ne tient pas, où la concurrence est trop rude ou l’innovation absente. Parmi les projets qu’il me reste, Memotrips paraissait le plus viable, le plus attendu par les voyageurs et les curieux.
Qu’est ce qui vous motive dans cette aventure ?
La motivation est née d’un besoin personnel. A l’heure actuelle, ce type de service n’existe toujours pas. Je trouve donc la motivation dans la mise à disposition d’un service unique, pratique, convivial et gratuit permettant de créer des carnets de voyage connectés. L’autre motivation est l’intérêt que le projet suscite autour de moi. Au fil de mes rencontres avec des acteurs du voyage ou d’autres profils, j’ai des échos quasiment toujours positifs.
A qui s’adresse votre projet ?
Mon projet s’adresse en premier lieu aux voyageurs qui souhaitent conserver durablement leurs souvenirs de voyages. Aujourd’hui, le voyageur prend bien souvent des milliers de photos de son voyage qu’il ne visionne et partage jamais car il manque le contexte associé à chaque photo. Pour les voyageurs avec une mémoire de poisson rouge (comme moi!), Memotrips leur permettra également de retrouver en un clin d’œil le nom du temple qu’ils ont visité à Bali il y a deux ans ou l’adresse à conseiller du fameux marché au fruit de Barcelone, grâce à leurs carnets de voyage.
Le projet s’adresse également à tous les proches des voyageurs qui souhaitent les suivre durant leur périple. Avec Memotrips, le voyageur crée son carnet de voyage au fur et à mesure, ce qui permet à ses amis et familles de les suivre et de partager un peu de leur voyage en temps réel.
Plus largement, chaque voyageur pourra aller consulter les carnets de voyages publics des autres voyageurs pour s’inspirer et préparez leurs prochains voyages.
Dans cette nouvelle interview, nous allons voyager et découvrir la naissance de Memotrips. Je suis certain que vous allez adopter son concept et l’emporter avec vous lors de vos prochaines vacances.
Pouvez-vous vous présenter auprès des auditeurs ?
Aurélien, 30 ans, passionné de Web et de voyage, enchanté!
Issue d’une formation informatique, j’ai passé cinq ans dans différentes sociétés à faire des choses plus ou moins intéressantes. Accros au milieu des startups et des nouvelles technologies, j’ai toujours voulu entreprendre, mais sauter le pas n’est pas évident. Une occasion s’est présentée ce début d’année, j’ai sauté dessus !
Comment est né Memotrips ?
Memotrips est né dans ma tête il y a quasiment 3 ans. J’étais dans la Death Valley aux Etats Unis, dans un village très reculé de tout où il régnait une ambiance d’isolement incroyable. Paradoxalement, j’ai eu envie de partager ce sentiment avec mes proches via quelques photos, une ligne de texte et une localisation. Aucun outil spécialement conçu pour historier ses souvenirs de voyage n’existait. L’idée de proposer un service de carnet de voyage en ligne via un smartphone ou un PC était né.
Pourquoi avez-vous lancé ce projet ?
Comme pas mal de gens, des idées de projets me passent (trop souvent?) par la tête. Je dois faire sans cesse le tri, pour écarter les projets où la barrière à l’entrée est trop importante, où le business modèle ne tient pas, où la concurrence est trop rude ou l’innovation absente. Parmi les projets qu’il me reste, Memotrips paraissait le plus viable, le plus attendu par les voyageurs et les curieux.
Qu’est ce qui vous motive dans cette aventure ?
La motivation est née d’un besoin personnel. A l’heure actuelle, ce type de service n’existe toujours pas. Je trouve donc la motivation dans la mise à disposition d’un service unique, pratique, convivial et gratuit permettant de créer des carnets de voyage connectés. L’autre motivation est l’intérêt que le projet suscite autour de moi. Au fil de mes rencontres avec des acteurs du voyage ou d’autres profils, j’ai des échos quasiment toujours positifs.
A qui s’adresse votre projet ?
Mon projet s’adresse en premier lieu aux voyageurs qui souhaitent conserver durablement leurs souvenirs de voyages. Aujourd’hui, le voyageur prend bien souvent des milliers de photos de son voyage qu’il ne visionne et partage jamais car il manque le contexte associé à chaque photo. Pour les voyageurs avec une mémoire de poisson rouge (comme moi!), Memotrips leur permettra également de retrouver en un clin d’œil le nom du temple qu’ils ont visité à Bali il y a deux ans ou l’adresse à conseiller du fameux marché au fruit de Barcelone, grâce à leurs carnets de voyage.
Le projet s’adresse également à tous les proches des voyageurs qui souhaitent les suivre durant leur périple. Avec Memotrips, le voyageur crée son carnet de voyage au fur et à mesure, ce qui permet à ses amis et familles de les suivre et de partager un peu de leur voyage en temps réel.
Plus largement, chaque voyageur pourra aller consulter les carnets de voyages publics des autres voyageurs pour s’inspirer et préparez leurs prochains voyages.
Vous indiquez que les carnets de voyages sont publics ? Quelles seront les conditions de confidentialité prévue pour les utilisateurs ?
Bien vu! Au delà de la notion de carnets de voyage connecté, Memotrips a également pour vocation le partage d’expérience et l’enrichissement culturel de chacun. Cela implique qu’une partie des carnets de voyage doit être publique, mais cela n’est pas obligatoire ! Au moment de la création de son carnet de voyage connecté, le voyageur décide si son carnet sera publique, semi privé ou complètement privé. A l’heure où la confidentialité des données est la clé, cela mérite quelques explications :
Comment travaillez-vous au quotidien ?
Les journées sont bien remplies! Je jongle entre le développement de Memotrips et mon activité de consultant informatique qui me permet de vivre. Memotrips est toujours en phase de développement : je passe d’une casquette de développeur à une casquette d’entrepreneur à la recherche d’un associé, à la casquette de commercial pour aller démarcher des acteurs souhaitent annoncer sur Memotrips, à la casquette de lecteurs de blogs voyage pour aller trouver les early adopters.
Travaillez-vous seul ou avez-vous des associés ?
Je suis pour le moment seul mais je suis persuadé qu’il faut être bien entouré pour réussir. Je suis donc à la recherche d’associés pour avancer. D’ailleurs, je profite de cette interview pour passer un appel. Ayant un profil technique, je suis à la recherche un business developper et un community manager pour se lancer de plein pied dans cette belle aventure !
Bien vu! Au delà de la notion de carnets de voyage connecté, Memotrips a également pour vocation le partage d’expérience et l’enrichissement culturel de chacun. Cela implique qu’une partie des carnets de voyage doit être publique, mais cela n’est pas obligatoire ! Au moment de la création de son carnet de voyage connecté, le voyageur décide si son carnet sera publique, semi privé ou complètement privé. A l’heure où la confidentialité des données est la clé, cela mérite quelques explications :
- Un carnet de voyage privé signifie que le voyageur qui a créé le carnet est le seul à pouvoir consulter ce carnet et tout son contenu (localisations, opinions, photos, etc.)
- Un carnet de voyage semi privé signifie que seuls les amis du voyageur peuvent consulter son carnet de voyage. Sur Memotrips, il y a une notion d’amis dans la même logique que Facebook.
- Un carnet de voyage public signifie que tout le monde peut consulter le carnet de voyage. Celui ci est référencé dans les moteurs de recherche.
Comment travaillez-vous au quotidien ?
Les journées sont bien remplies! Je jongle entre le développement de Memotrips et mon activité de consultant informatique qui me permet de vivre. Memotrips est toujours en phase de développement : je passe d’une casquette de développeur à une casquette d’entrepreneur à la recherche d’un associé, à la casquette de commercial pour aller démarcher des acteurs souhaitent annoncer sur Memotrips, à la casquette de lecteurs de blogs voyage pour aller trouver les early adopters.
Travaillez-vous seul ou avez-vous des associés ?
Je suis pour le moment seul mais je suis persuadé qu’il faut être bien entouré pour réussir. Je suis donc à la recherche d’associés pour avancer. D’ailleurs, je profite de cette interview pour passer un appel. Ayant un profil technique, je suis à la recherche un business developper et un community manager pour se lancer de plein pied dans cette belle aventure !
Comment avez-vous défini l’identité visuelle de Memotrips ?A la question, qu’est ce qui symbolise un souvenir de voyage, les gens vont vous répondre l’indémodable coucher de soleil. C’est donc tout naturellement que le logo représente un coucher de soleil, mais une autre signification d’y cache, saurez vous la découvrir ? Cherchez un peu avant d’aller trouver la réponse sur http://blog.memotrips.com
Plus largement, les couleurs choisies pour l’interface du site sont assez classiques dans le milieu du voyage. J’ai voulu un design très épuré car l’accent doit être mis sur le contenu des voyageurs.
Comment travaillez-vous l’image de marque de Memotrips ?
Pour le moment, il est vrai que la priorité n’est pas l’image de marque car je mets l’accent sur la sortie d’une première version. J’essaye tout de même de faire connaitre le nom Memotrips via le blog, via Facebook et via Twitter.
Comment organisez-vous votre communication ?
Pas. Et je sais que ce n’est pas bien. Je cherche activement un associé qui pourrait prendre la partie communication en charge. A bon entendeur…
Plus largement, les couleurs choisies pour l’interface du site sont assez classiques dans le milieu du voyage. J’ai voulu un design très épuré car l’accent doit être mis sur le contenu des voyageurs.
Comment travaillez-vous l’image de marque de Memotrips ?
Pour le moment, il est vrai que la priorité n’est pas l’image de marque car je mets l’accent sur la sortie d’une première version. J’essaye tout de même de faire connaitre le nom Memotrips via le blog, via Facebook et via Twitter.
Comment organisez-vous votre communication ?
Pas. Et je sais que ce n’est pas bien. Je cherche activement un associé qui pourrait prendre la partie communication en charge. A bon entendeur…
Quels réseaux sociaux utilisez-vous ? Pourquoi ?Memotrips est présent sur Facebook, Twitter et Pinterest.
Facebook sert à diffuser les actualités du site et du blog, Twitter est plutôt utilisé pour partager des infos courtes et de l’actualité intéressante, tandis que Pinterest aura pour but d’épingler les plus belles photos des carnets de voyages Memotrips.
Pouvez-vous citer des entrepreneurs qui vous ont inspirés dans la démarche de votre projet ?
De longue date, je suis Marc Simoncini car j’aime sa façon de voir les choses et sa spontanéité sur Twitter. Plus récemment, j’ai découvert Paul Morlet (www.lunettespourtous.com) pour lequel j’ai beaucoup d’admiration dans sa volonté de renverser le secteur des opticiens.
Avez-vous des conseils à donner à ceux qui souhaitent se lancer dans un projet entrepreneurial ?
Le premier conseil se résume en deux lettres : GO ! N’ayez pas peur, allez-y ! J’ai attendu 5 ans avant de me lancer, j’aurais surement dû y aller plus tôt. Le plus tôt est le mieux car plus la vie avance, plus les contraintes financières s’accumulent (loyer, achat, enfant, etc.). Dans ce sens, le statut d’étudiant-entrepreneur est d’ailleurs pour moi une très bonne chose.
Le second conseil est lié à la communication autour du projet. Combien de fois ai-je entendu « ne parle pas de ton projet, tu vas te faire piquer l’idée ». C’est FAUX ! Les personnes que vous rencontrez et à qui vous parlez de votre projet appartiennent à l’une des deux catégories suivantes :
• des entrepreneurs qui ont déjà 50 idées à la seconde et sont bien souvent déjà lancés dans une ou plusieurs aventures
• des non-entrepreneurs qui vont pouvoir vous dire ce qu’ils en pensent, mais qui n’auront jamais le reflexe de se dire « à mais oui! je vais faire la même chose! »
Vous aurez bien plus à y gagner de parler de votre projet, vous aurez des feedbacks, de nouveaux contacts, de nouvelles idées et vous trouverez même des personnes prêtes à vous aider.
Le mot de la fin ?
Merci Cédric de m’avoir accordé un peu de ton temps pour mettre un petit coup de projecteur sur Memotrips. Si vous avez la moindre question, contactez moi par Twitter @Memotrips ou en commentaire de ce billet.
A bientôt !
source : Cedric Debacq, Graphiste et Photographe Multimédia
Facebook sert à diffuser les actualités du site et du blog, Twitter est plutôt utilisé pour partager des infos courtes et de l’actualité intéressante, tandis que Pinterest aura pour but d’épingler les plus belles photos des carnets de voyages Memotrips.
Pouvez-vous citer des entrepreneurs qui vous ont inspirés dans la démarche de votre projet ?
De longue date, je suis Marc Simoncini car j’aime sa façon de voir les choses et sa spontanéité sur Twitter. Plus récemment, j’ai découvert Paul Morlet (www.lunettespourtous.com) pour lequel j’ai beaucoup d’admiration dans sa volonté de renverser le secteur des opticiens.
Avez-vous des conseils à donner à ceux qui souhaitent se lancer dans un projet entrepreneurial ?
Le premier conseil se résume en deux lettres : GO ! N’ayez pas peur, allez-y ! J’ai attendu 5 ans avant de me lancer, j’aurais surement dû y aller plus tôt. Le plus tôt est le mieux car plus la vie avance, plus les contraintes financières s’accumulent (loyer, achat, enfant, etc.). Dans ce sens, le statut d’étudiant-entrepreneur est d’ailleurs pour moi une très bonne chose.
Le second conseil est lié à la communication autour du projet. Combien de fois ai-je entendu « ne parle pas de ton projet, tu vas te faire piquer l’idée ». C’est FAUX ! Les personnes que vous rencontrez et à qui vous parlez de votre projet appartiennent à l’une des deux catégories suivantes :
• des entrepreneurs qui ont déjà 50 idées à la seconde et sont bien souvent déjà lancés dans une ou plusieurs aventures
• des non-entrepreneurs qui vont pouvoir vous dire ce qu’ils en pensent, mais qui n’auront jamais le reflexe de se dire « à mais oui! je vais faire la même chose! »
Vous aurez bien plus à y gagner de parler de votre projet, vous aurez des feedbacks, de nouveaux contacts, de nouvelles idées et vous trouverez même des personnes prêtes à vous aider.
Le mot de la fin ?
Merci Cédric de m’avoir accordé un peu de ton temps pour mettre un petit coup de projecteur sur Memotrips. Si vous avez la moindre question, contactez moi par Twitter @Memotrips ou en commentaire de ce billet.
A bientôt !
source : Cedric Debacq, Graphiste et Photographe Multimédia